Prothèse totale du genou - 5 mois après

attente 1 Tout a commencé début octobre et je le raconte dans cet article.

Je sais vous allez dire mais ça fait plus que 5 mois ça, mais lisez l'histoire et vous comprendrez.

Donc je reprends mon histoire 5 mois après la pose de ma prothèse totale du genou.J'en étais restée au problème de transport dans le dernier article de ce reportage.

Au bout de mes 10 premières séances de kiné et ayant épuisé mes bons de transports, j'ai essayé de conduire ma voiture et ça se passait bien. Embrayer me faisait moins mal que la kiné !

Kiné-4

Donc je conduis depuis début février, soit 2 mois après l'intervention.

Je n'allais que 3 fois par semaine chez la kiné car c'est fatigant déjà et puis ça prend les après midi !

Et puis n'oublions pas les 2 étages à descendre puis remonter chez moi !

Comme je posais au maximum mon poids sur l'autre jambe, autant vous dire que la douleur était partout.

Le chirurgien m'avait fait une attestation disant l'utilité pour moi d'avoir un autre logement sans escaliers.

Il faut dire que ce fut un déclic. Je me trouvais bien dans mon HLM mais ces escaliers j'en pouvais plus. Et donc j'ai trouvé un rez de chaussée !

Là a commencé un vrai parcours du combattant pour moi. Je l'ai raconté à partir de cet article.

Alors que j'étais sensée me reposer j'ai suspendu mes séances de kiné et me suis mise à faire des cartons.

Toute la journée debout en portant du poids pendant un bon mois, regardez le résultat !

J'avais si mal, même la nuit, que les cachets ne faisaient plus rien. Je suis donc allée voir mon chirurgien cette semaine, j'avais peur que quelque chose ait bougé.

Ouf non ça va mais il y a un épanchement et une inflammation, donc froid dessus et repos environ 1 mois !

Comme je lui faisais remarquer ces taches présentes depuis la 1ère opération, il me dit: "Ah non pitié ne m'en parlez plus, jamais ça ne m'était arrivé.". J'ai éclaté de rire en disant "à moi non plus" !

Morale de cette histoire, ce n'est pas une intervention bénigne, il faut se reposer, ne pas forcer si on veut remarcher très vite normalement. J'étais en bonne voie début février, la kiné me le disait et puis ...

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